Le sort des revenus fonciers
Les détenteurs de parts reçoivent des profits proportionnels à leur participation initiale. Les épargnants devront déclarer les versements périodiques pour qu’ils soient imposés en tant que revenus fonciers. D’après le Code Général des Impôts, il faudra se référer au barème progressif de l’IR pour pouvoir calculer sa contribution. Néanmoins, afin d’optimiser cette fiscalité, il est possible de choisir entre deux différents régimes. En premier lieu, le micro-foncier permet d’obtenir un abattement forfaitaire de 30 % sur les dividendes imposables. En second lieu, le régime réel autorise la déduction des charges (intérêts d’emprunt, frais d’entretien, etc.) sur les revenus imposables. Les prélèvements sociaux sont à hauteur de 17,2%.